La prévention des dangers de l’océan

Cette année encore, comme tous les ans depuis longtemps, de (trop) nombreuses personnes ne verront pas le mois de septembre. La raison, le nombre très important de noyades en France entre juin et août. Parmi toutes ces noyades, la plus grosse partie à lieu en mer.

En tant que maître-nageur et surfeur, voici quelques pistes pour la prévention des dangers de l’océan. Dans un souci pédagogique, nous avons mis en place des dessins (Merci Allan pour les dessins) que vous pourrez utiliser pour expliquer les situations à des enfants, à vos enfants, nièces ou neveux. Un nageur averti en vaut deux. 

Observation de l’environnement océanique (océan et plage)

Depuis la plage

Etat de la mer : Il est très important de regarder l’état de la mer. En effet, l’océan n’est pas un lac, il est vivant. On peut observer la hauteur des vagues, la fréquence des vagues, si la plage est surveillée, la marée, les dangers environnants

La hauteur des vagues : La hauteur des vagues est donnée sur une échelle métrique. Jusqu’à 1 m, il n’y a que peu de risque pour des baigneurs, dès que l’on dépasse le 1 m 50, cela commence à être sérieux. Au delà, si vous n’êtes pas bon nageur, vous n’avez rien à faire dans l’eau. Un indice, quand vous entendez un bruit sourd depuis la plage c’est que les vagues sont grosses. Petit point de repère, vous pouvez si des surfeurs sont présents dans l’eau, évaluer la taille des vagues.

La forme des vagues : Les vagues peuvent être de plusieurs types. Elles sont dites molles quand le déferlement est lent. Creuses quand le déferlement est rapide et violent. Plus les vagues seront creuses, plus elles seront dangereuses pour des baigneurs. Petite astuce, une vague creuse déferle en faisant en général voler beaucoup d’écume.

[La fréquence des vagues : Les vagues en atlantique déferlent par série. Ces séries peuvent comporter de 3 à 9 vagues environ. Souvent entre les séries, des vagues intermédiaires déferlent également. Attention, les vagues de série sont souvent plus grosses que les vagues entre les séries. C’est d’autant plus vrai si les séries sont longues à venir. C’est à dire qu’il y a beaucoup de temps entre deux séries.

La surveillance des plages : Lorsque vous allez vous baigner, assurez-vous d’aller sur une plage surveillée. Cela permet d’avoir des zones différenciées entre les usagers de la plage. Cela permet surtout de pouvoir être secouru rapidement en cas de problème. Vous saurez si la plage est surveillée par la présence d’un drapeau à côté du poste de secours. Si une flamme est levée, c’est qu’il y a une surveillance. S’il n’y a pas de drapeau, le poste est fermé. La couleur de la flamme est également à respecter obligatoirement, verte : baignade autorisée, orange ou jaune : baignade autorisée mais à risque, rouge, baignade interdite, accès à l’eau interdit. La couleur noir ou violet interdit également la baignade pour cause de pollution.

La marée : La marée aura une importance que l’on verra par la suite. Vous pouvez connaître les marées en regardant sur internet, ou dans tous les guides des marées présents dans tous les offices de tourisme.

Les dangers environnants : Lorsque vous regardez l’océan, essayer de repérer les zones dangereuses (rochers, courants, shorebreaks…). Nous verrons ces dangers principaux plus tard dans l’article.

Le vent : Le vent aura une importance sur l’état du plan d’eau. Le plus dangereux étant le vent de terre, qui souffle de la terre vers la mer. Ce vent à la fâcheuse tendance à emporter très rapidement tous les supports flottants (type bouées, matelas gonflables,…). En cas de vent de terre, ne mettez surtout pas d’objets flottants dans l’eau.

Depuis l’océan

Se repérer : Avec les courants, les vagues, les nageurs perdent souvent leurs repères une fois dans l’océan, on va voir quelques petites astuces pour éviter d’être perdu.

La prise de repère : Lorsque vous rentrez dans l’eau, essayer de prendre des repères fixes comme un poste de secours, un mât, une entrée de plage, … Ne vous fiez pas à des parasols ou autres objets qui peuvent bouger. Vous aurez besoin de ces repères pour savoir où vous êtes, et par où rentrer.

Mettre les pieds dans l’eau pour sentir le courant : Lorsque vous mettez les pieds dans l’eau, essayer de sentir le courant, le sens du courant et sa force. Vous aurez une idée dans quelle direction vous allez vous faire dévier en nageant.

Analyse du plan d’eau dans l’eau : On peut deviner la zone de déferlement des vagues en regardant la traînée de mousse qui réside sur le plan d’eau. Vous aurez alors une idée de la zone à éviter avant la prochaine série.

Connaissance de la météo marine

Avant même d’aller à la plage, surtout si la plage est océanique et exposée à la houle (toute les plages de la façade océanique ou presque), il est important de savoir

Prenons l’exemple de ce week-end.

Pour les journée de samedi, dimanche, et lundi, une houle est prévue sur le secteur de Quiberon (on rappelle qu’il est formellement interdit de se baigner sur la côte sauvage de Quiberon). Du vent va accompagner cette houle. Cette houle risque d’être solide puisque les prévisions de houle au bord et au large concorde, signifiant que la houle sera là, de plus, il y a de la période dans la houle (au dessus de 11 sec, on dit que la houle commence à être longue). Cette période risque d’entraîner deux choses : des séries surprises dépassant les vagues régulières et balayant tout sur leurs passages, et des vagues plus puissantes qu’à l’accoutumé, l’énergie des vagues étant supérieures à la moyenne. D’un point de vue de l’observation, une houle relativement longue est piégeuse vu de la plage, puisque les vagues vont arriver par série, plus ou moins longues à venir. Il se peut que lorsque vous regardez l’océan quelques secondes, il soit bien plat, mais lorsque la série ou les séries arrivent, il peut y avoir des barres de 2 m arriver et saturer toute la plage. C’est pourquoi il est très important de regarder calmement et longtemps l’océan pour voir la tendance au niveau de l’état de la mer.

L’impact du vent

Associé à cette houle solide, du vent va accompagner cette arrivée de houle. Le vent sera on-shore, cela va agiter le plan d’eau, et faire casser les vagues de façon irrégulière, vous ne pourrez pas prédire où va briser la vague, ce qui n’est pas dangereux quand la vague fait 50 cm, cela l’est beaucoup plus quand la vague fait plus de 2 m.

De plus, ce vent va accentuer le courant déjà présent par le ressac des puissantes vagues de l’atlantique. Suivant l’orientation du vent, le vent va provoquer un courant plus ou moins latéral à la plage.

L’impact de la marée

Plus les coefficients de marées seront importants, plus il y aura du mouvement dans l’eau. C’est à dire des mouvements de va et vient d’eau. Ces mouvements vont s’ajouter sur une marée montante à l’arrivée des vagues, ce qui risque d’amplifier la taille des vagues, et le courant également. Plus les coefficients seront importants, plus le courant le sera également.

Le bilan pour ces 3 journées sur les plages de l’Atlantique. 

Si on résume l’analyse des conditions de mer pour les plages de l’atlantique pour ces trois journées. Nous pouvons déduire qu’il y a aura des vagues, avec des séries surprises, plus grosses que la moyenne, de forts mouvements d’eau du à ces vagues, et ces marées avec des coefficients supérieures à la moyenne. Il y aura donc probablement un fort courant dans l’eau en permanence. Les vagues seront imprévisibles et assez puissantes et violentes. La meilleure option dans ce genre de condition est de choisir pour se baigner des zones moins exposées à la houle comme des criques ou des plages n’étant pas en face directement de l’océan, comme les plages de la Baie de Quiberon par exemple, par rapport aux plages de Plouharnel.

Les principaux dangers

Insolation / Coup de chaleur / brûlure

La crème solaire existe, et ce n’est pas pour rien. Il est vital de se protéger la peau du soleil, et ce, encore plus l’été. Et la crème solaire à une durée de vie assez courte, il faut donc la renouveler régulièrement. De plus, on conseille vivement de porter un chapeau (casquette, bob ou autre) sur la plage.

Les heures à éviter : entre 12 h et 16 h, où le soleil est au plus haut. 

Le soleil provoque également d’autres risques que des coups de soleils (plus ou moins graves d’ailleurs les coups de soleil) :

    • Insolation
    • Hydrocution Lorsque vous restez exposé au plein soleil, votre corps et votre peau chauffe énormément. Si vous sautez dans une eau avec une forte différence de température par rapport à votre corps, vous pouvez subir un choc appelé hydrocution. Il s’ensuit une perte de connaissance et une noyade silencieuse. C’est pour cela que vous devez toujours faire une entrée dans l’eau de façon progressive. 

Pour mieux comprendre l’hydrocution.

Animaux marins

En France, vous ne craindrez très peu la faune marine dentée. Seulement, quelques animaux peuvent vous faire regretter d’avoir mis les pieds dans l’eau.

En France, vous retrouverez des vives, surtout dans le sud de la France, leurs piqûres fait mal, très mal. Le venin est thermoréactile, il « suffit » de mettre le zone touchée dans une source chaude pour dissiper les effets du venins, dans de l’eau chaude par exemple.

En France, vous retrouverez également des méduses, certaines sont inofensives, d’autres non. Si vous vous faites pîquer, voici une procédure à suivre.

Shorebreak

Les shorebreaks sont des vagues déferlant très près du bord, limite sur la plage même pour certaines vagues. Ces vagues sont très dangereuses pour plusieurs raisons.

  • Elles brisent dans très peu d’eau. Donc si vous vous faites prendre dedans, vous risquez de vous faire frapper violemment contre le sol.
  • Elles brisent avec énormément de puissance. Cela renforce les risques du premier point.
  • Elles entraînent un ressac très important, empêchant par le courant généré de revenir facilement sur la plage
  • Elles peuvent doubler de taille très facilement
  • Les esquiver par le dessous n’est pas toujours possible quand elles brisent sur très peu d’eau

Dans les shorebreaks pour éviter les problèmes, vous pouvez adopter plusieurs choses :

  1. Les éviter au possible (souvent plus fréquent par marée haute, et encore plus par fort coefficient de marée)
  2. Si vous êtes pris dedans, protéger vous la tête absolument
  3. Mettez vous en boule pour limiter les chocs à l’impact
  4. Pour sortir d’un shorebreak, il y a plusieurs solutions;
    1. Si c’est possible, il faut le contourner par le large pour sortir dans une zone plus calme
    2. Si ce n’est pas possible, l’une des meilleure façons est de se laisser porter par la vague jusqu’au bord, et ensuite de courir (très vite)
    3. Vous pouvez également attendre une accalmie et courir très vite


Baïnes / Courant / Bâches

Les baïnes, les bâches sont des courants porteurs qui vous emmène au delà des bancs de sable où déferlent les vagues. En soit, ces courants ne sont pas dangereux, dans le mesure où l’on ne cherche PAS à lutter contre. La force de ces courants est supérieur à d’excellents nageurs, il est donc illusoire de vouloir revenir à contre courant. Au contraire, il faut se laisser porter sans lutter et ensuite sortir de ce courant par l’extérieur et revenir sur la plage via le déferlement des vagues (en bodysurf).

Pour ne pas paniquer dans les baïnes, il convient donc d’être à l’aise dans l’eau (voir section savoir bien nager) et de se laisser faire. C’est aussi simple que cela.

Vous pourrez voir un courant de baïnes via la plage par une zone agitée mais non déferlante proche des vagues.

Si vous vous sentez mal, vous pouvez appeler à l’aide dans une position de sustentation verticale (comme illustré par le dessin), en agitant un seul bras, et non deux, ce qui vous ferait couler et paniquer encore plus, entraînant la noyade immanquablement. 

Deux petites vidéos (en anglais) pour mieux comprendre les courants porteurs (Rip current en anglais).


Comportements dangereux

Lorsque vous êtes dans un environnement naturel comme l’océan, vous devez sans cesse analyser votre environnement. En effet, des vagues peuvent vous arriver dessus, des courants peuvent vous porter mais ce n’est pas tout, le facteur humain est également un danger permanent. A moins que vous soyez seul sur la plage (ce qui n’est pas conseillé), d’autres personnes sont également présentes dans l’eau. Voici les dangers que d’autres être humains peuvent entraîner :

  • Collisions entre baigneurs, ce qui arrive régulièrement dans les vagues
  • Collisions entre baigneurs et pratiquants d’activités nautiques

Pour éviter les problèmes, regardez régulièrement autours de vous. Lorsque vous remontez à la surface, sortez le bras avant la tête pour signaler votre présence. Il vaut mieux se prendre un coup dans le bras que dans la tête.

Les risques spécifiques aux activités aquatiques (surf, body, nage, SUP…)

Collisions

Les principaux risques dans la pratique d’une activité aquatique ne sont pas liés à la pratique elle-même ou son environnement (quoique, cela dépend pour certains spots cela) mais à ses pratiquants. En effet, vous avez pas mal plus de chances, surtout en saison estivale de vous prendre la planche de quelqu’un ou de percuter quelqu’un plutôt que de nous noyer ou vous fracasser le crâne sur un rocher.

Pour éviter au maximum le risque de solution plusieurs solutions existent :

  1. Eviter de surfer entre 10 h et 19 h, c’est l’heure de pointe sur les spots (et en plus c’est souvent on shore). Plus il y a de monde sur les spots, plus les risques de collision sont importants.
  2. Marchez, décalez vous des spots principaux (souvent ceux qui sont face au parking). Plus les spots sont loin, moins il y a de monde, et moins vous risquerez de vous blesser
  3. Utiliser des planches en mousse sur les spots peuplés. Ce sont des planches bien plaisantes à l’usage, et qui font (beaucoup) moins mal quand on se les prends sur la tête ou que l’on à une collision.
  4. Respecter les règles de priorités propres aux sports de vagues
  5. Si vous avez un doute sur vos capacités à être maître de votre planche, n’allez surtout pas sur un spot où il y a du monde
  6. Portez un casque (Tribord en fait des pas cher)

Blessures

Des collisions entraînent des blessures, mais les blessures dans les sports de glisses ne sont pas liés uniquement à des collisions. Voici quelques blessures que vous pouvez éviter en faisant un petit peu attention.

  1. Les coupures aux doigts, voir un doigts qui sautent. ON NE RETIENT JAMAIS SON LEASH PAR LES DOIGTS. 
  2. Les blessures liées aux dérives. Si votre planche se retourne, ayez le reflexe de sauter à côté.
  3. La planche qui nous tombent dessus. Lors des jours off-shore, votre planche peut s’envoler et vous retomber dessus, remonter toujours en sortant un bras en premier, il vaut mieux se prendre la planche sur le bras que sur la tête (un passage à l’hôpital pour ma part, peut vous assurer de ce fait)

Stress

Lorsque les conditions deviennent sérieuses, nous éprouvons tous à un moment donné un peu de peur avant de se lancer sur les vagues. Cette peur est tout à fait normal, seulement si cette peur se transforme en stress important vous paralysant, il est largement préférable de sortir de l’eau. En effet, si vous tombez d’une vague et que nous êtes déjà stressé à l’idée de tomber, vous ne serez pas relâché dans le bouillon et cela peut être assez traumatisant de vivre exactement ce que l’on redoutait de vivre. Vous pouvez aller jusqu’à souffrir d’un aquastress dans ces conditions.

Pour éviter cela, il suffit d’y aller progressivement dans les vagues, choisir ces sessions, pour se détendre, vous pouvez fermer les yeux et compter les secondes pour occuper votre esprit à autre chose.

Les dangers des sports de glisse, bien résumé.

La prévention

Apprendre à (bien) nager

En France, on estime qu’une grande partie de la population sait « nager » 50 m ou plus selon les études publiées. Cette distance est à prendre avec des pincettes lorsque l’on sait qu’en mer, rien qu’avec un courant, on peut se retrouver à plus de 100 m de la côte assez facilement. Maîtriser une sorte de brasse, tête hors de l’eau et péniblement sur 50 m ne vous sauvera donc PAS.

Pour se mettre en sécurité, il est nécessaire de maîtriser 3 éléments :

  • Une nage ventrale (crawl, brasse, papillon, hybride, comme vous voulez) avec maîtrise de la respiration aquatique (inspiration, et expiration).
  • Etre à l’aise sur le dos (pas besoin de savoir bien nager le dos crawlé), c’est à dire pouvoir se déplacer sur le dos, attendre sur le dos, se reposer, ne pas paniquer quand de l’eau arrive sur son visage quand on est sur le dos…
  • Etre à l’aise en sustentation verticale. C’est à dire pouvoir tenir tête hors de l’eau et dans le calme sur place par un enchaînement d’appuis et contre-appuis sans se fatiguer (rétropédalage, poussé des jambes, et des bras alternés…)

Dans l’eau, lorsque vous êtes en difficulté, être à l’aise sur le dos peut vous sauver la vie. Vous pouvez reprendre votre souffle, vous reposer avant de repartir. Etre à l’aise en sustentation verticale vous permet de prendre des repères visuels sans paniquer, et de vous signaler auprès des sauveteurs ou des gens présents en danger. Et se déplacer sur le ventre, vous permet tout simplement de vous déplacer. Le crawl étant la nage la plus rapide. En mer, lorsqu’il y a du courants et des vagues, il est bien plus utile de savoir maîtriser le crawl pour pouvoir aller suffisamment vite et éviter de se faire balayer par le courant.

Dans les vagues, il est nécessaire de savoir plonger. Le plus efficace étant le plongeon canard. En effet, pour « éviter » une vague, le plus efficace est de passer sous le déferlement, et le plus efficace pour aller rapidement au fond de l’eau avec l’élan de la nage est la technique du plongeon canard.

En tant que maître-nageur, je conseille vivement, si vous vous sentez limité en nageant de prendre des cours pour adultes ou pour vos enfants. Ce sera un investissement qui pourra vous sauver la vie ou au minimum vous rendre beaucoup plus à l’aise en milieu océanique. Je le répète encore une fois, savoir nager dans une piscine pendant un test sans perturbation, est très différent d’une situation en mer. Pour vous tester, je dirais que pour être à l’aise dans la plupart des situations en mer, vous devriez être capable de nager au moins 400 m, avec des alternances sur le dos et le ventre, en plus de passage en apnée, sans vous arrêter et sans difficulté particulière.

Apprivoiser l’environnement océanique

Le sauvetage sportif et côtier

Le sauvetage sportif est un sport en plein essor. Née en Australie, il a conquis la France depuis plusieurs années. De nombreux clubs existent, un peu partout sur les côtes françaises. Plus ludique que la natation sportive, le sauvetage sportif se pratique en deux temps : le sauvetage sportif en eau plate (piscine) ou en côtier (sur la plage).

Le sauvetage sportif est une excellente préparation à toutes les situations que vous pourriez vivre en mer, puisqu’il vous apprends à être non seulement à l’aise dans un environnement océanique, mais également à sauver les autres. C’est une belle école de la vie.

Une petite vidéo vous présentant le sauvetage sportif, appelé Surf Life Saving

Les écoles de surf

Les écoles de surf ne font qu’apprendre à se lever à des enfants de passage dans la région pour les vacances. L’enseignement du fonctionnement des vagues, de l’océan, de ses dangers est également bien présent. C’est une excellente option pour apprendre le surf et comprendre l’océan.

Pour finir, une vidéo de l’excellente émission C’est pas sorcier sur les dangers de la plage.