Guide écoloresponsable du surfeur

Ce guide a été réalisée via l’expertise d’Amandine Volard, ingénieure spécialisée dans les énergies renouvelables.

Première partie : comprendre l’impact environnemental du surf

Le surf est synonyme de communion avec la nature, de respect de l’océan et de l’environnement, et il nous rapproche d’une simplicité et de valeurs aujourd’hui laissées à l’abandon.

Dans la réalité, cela ne se passe pas exactement comme ça.
Depuis la fin du XXème siècle, l’environnement est devenu un argument commercial utilisé pour promouvoir certains produits plus vertueux que d’autres. Tantôt greenwashing, tantôt progrès environnemental, il est parfois difficile de faire la part des choses entre un produit qui se veut vert et un produit qui l’est réellement.

L’objectif de cet article est de vous fournir des outils pour analyser de la manière la plus objective possible les produits qui vous sont proposés sur le marché, et les solutions qui existent pour réduire votre impact environnemental lors de la pratique du surf.

1. L’analyse de cycle de vie : outil de mesure de l’impact environnemental

Qu’est-ce que c’est ?

Les différentes étapes de la vie d’un produit [ CITATION pôl \l 1036 ] L’analyse de cycle de vie, ou ACV, est un outil qui permet d’évaluer l’impact d’un produit ou d’un service sur l’environnement sur toute sa durée de vie, « du berceau à la tombe ». C’est le principal outil utilisé pour valider des démarches d’écoconception, dont l’objectif est de mettre au point les produits les plus respectueux de l’environnement possible. L’écoconception passe autant par le choix des matériaux que par celui des procédés. Un autre élément important à prendre en considération est le sourcing, c’est-à-dire le choix du lieu d’approvisionnement(local/français/européen/international). L’ACV est un outil souvent utilisé pour comparer deux produits afin de déterminer le produit le moins polluant.[/toggler]

Les précautions à prendre avec cet outil

Si elle permet une analyse assez précise de l’impact environnemental d’un produit, l’ACV a néanmoins quelques subtilités : • Lors de la définition de l’étude, des frontières très précises doivent être fixées. Par exemple, du bois est souvent utilisé dans la conception du surf afin de confectionner les lattes de renfort. On prendra généralement en compte la provenance de la matière première. Mais pour que l’ACV soit le plus précis possible, et dans le cas du bois, on pourrait prendre en compte la quantité d’eau utilisée pour faire pousser l’arbre dans lequel on a coupé ces lattes. L’important est de trouver un juste milieu, mais cette analyse reste malheureusement soumise à l’empirisme et à la subjectivité. La démarche de l’ACV est encore relativement récente, et est très dépendante des données qui peuvent être récoltées. Pour chaque ACV, des hypothèses devront être posées pour assurer que la démarche est « juste » ou le plus proche possible de la réalité.

Petit précis du vocabulaire environnemental (ou comment vous en sortir avec tous les outils de mesure d’impact)

Des outils de mesure plus spécifiques existent pour mesurer l’impact environnemental des produits et services. Ils se concentrent néanmoins sur des aspects plus précis :

« L’impact environnemental » Cette expression est définie sur le plan réglementaire comme « toute modification de l’environnement, négative ou bénéfique, résultant totalement ou partiellement des activités, produits ou services d’un organisme » [ CITATION INE \l 1036 ].C’est par extension le terme retenu pour désigner les conséquences sur l’environnement des activités et comportements de tous.

« L’empreinte carbonne » L’empreinte carbone désigne la quantité de carbone émise par une organisation ou une activité, généralement en tonnes de CO2 [ CITATION Glo \l 1036 ]. Le dioxyde de carbone est l’une des molécules responsables de l’effet de serre anthropique ou additionnel : c’est l’effet de serre causé par les activités humaines. L’empreinte carbone est un outil de mesure assez restrictif : en effet, certains gaz ont un pouvoir de réchauffement global (PRG) bien supérieur à celui du CO2. Le méthane (CH4), par exemple, a un PRG 24 fois supérieur à celui du CO2[ CITATION Rés04 \l 1036 ]. Le Bilan Carbone, marque déposée par l’ADEME, est quant à lui un outil permettant la comptabilisation de ces émissions [ CITATION Fut \l 1036 ]

« L’empreinte écologique » C’est la surface terrestre équivalente nécessaire pour répondre à vos besoins. A titre d’exemple, si l’ensemble de la population de la Terre vivait comme un européen, il faudrait l’équivalent de 3,4 planètes pour subvenir aux besoins de tous.Ce chiffre grimpe à 6,81 pour un Américain et à 11,4 pour un homme ou une femme d’affaire européen(e)[ CITATION Agi \l 1036 ].

2. Le cycle de vie de l’activité surf

Dans le cadre de cet article, nous tâcherons de nous rapprocher de la méthodologie de l’ACV. En effet, considérer l’impact de votre board seule n’a pas de sens. Lorsqu’on pratique le surf, on achète tout son matos et on le renouvelle, on prend sa voiture pour checker les spots, et on achète des consommables divers préparer sa board et son corps à affronter l’élément marin.

En amont : la conception de la planche

Il est estimé que l’empreinte carbone d’une planche de surf 6’0 de 2,5kg correspond à 270kg de CO2 [ CITATION Sus \l 1036 ]. A titre de comparaison, l’empreinte carbone d’un pc portable est de 340 kg de CO2 [ CITATION Fré12 \l 1036 ]. La forte empreinte des boards s’explique par l’utilisation de nombreux produits issus de la pétrochimie et par la forte demande énergétique des procédés utilisés pour produire les différents constituants de la planche. Cette section a pour objectif de disséquer la planche et de présenter quelques alternatives.

Anatomie d’une planche de surf

« Anatomie d’une planche de surf » Il existe autant de manière de shaper que de shapeurs. Côté matériaux, en revanche, les bases sont fixes : pain de mousse, résine époxy ou polyester, fibre de verre ou de carbone, solvants, et bois [ CITATION Sur2 \l 1036 ]. Un certain nombre de choix peut être fait pour favoriser les matériaux les moins polluants ou moins énergivores.

« Le pain de mousse » Les pains de mousse représentent en moyenne 26% de l’empreinte carbone de la planche [ CITATION Sus \l 1036 ]. Les matériaux classiquement utilisés pour la confection des pains de mousse sont tantôt la mousse polyuréthane (compatible avec une résine polyester), tantôt le polystyrène expansé ou extrudé (EPS, compatibles avec résine époxy) [ CITATION MyL131 \l 1036 \m Fre111 \m Isl1]. L’EPS, globalement plus résistant dans le temps que le polyuréthane, émet 50 à 75% moins de COV que son homologue [ CITATION Sus13 \l 1036 \m Sus]. C’est d’ailleurs le matériau privilégié par la marque française NOTOX, qui a réduit considérablement l’impact environnemental de ses produits en réalisant du sourcing local, en diminuant la quantité de solvants utilisés pour la conception de ses produits, et en mettant en place un système de collecte et de recyclage de ses déchets [ CITATION NOT \l 1036 ]. Une alternative à ces pains en mousse est le bois : les planches en bois sont déjà commercialisées par certaines marques telles que Kun_tiqi, implanté en France, en Espagne et en Allemagne, ou encore Lacanau Surf Design, spécialisés dans les planches de surf en Balsa [ CITATION Lac \l 1036 \m Kun]. Des initiatives de surfeurs mettent aussi en avant l’utilisation de bois et des ressources locales. C’est le cas de deux français expatriés en Australie, qui ont conçu une hollow board (c’est-à-dire une board creuse) en bamboo et qui ont réalisé une vidéo permettant de suivre les étapes de conception. Ce type de board est déjà commercialisé en France par l’entreprise Uhaina Po.

« La stratification. » La résine polyester contient des styrènes qui sont listés comme des composants chimiques carcinogènes. La résine époxy n’émet quant à elle que peu ou pas de composants cancérigènes mais peut être responsable de réactions allergiques à long terme [ CITATION Sus13 \l 1036 ]. Du point de vue performance, l’époxy reste supérieur au polyester, mais bien plus chère que cette dernière. En France, l’entreprise SICOMIN propose des résines époxy contenant plus de 50% de molécules d’origine végétale [ CITATION SIC \l 1036 ]. Deux types de fibres peuvent être utilisés en renfort : la fibre de verre, fabriquée à partir de silice (c’est-à-dire de sable, un des éléments les plus abondants présents sur terre) qui a une faible empreinte environnementale — probablement la plus faible parmi tous les composants d’une planche de surf. La production de fibres de carbone est quant à elle extrêmement énergivore. Cependant, ces fibres ont des propriétés de résistance exceptionnelles ce qui allonge potentiellement la durée de vie du surf. L’alternative végétale qui existe aujourd’hui est la fibre de chanvre, la fibre de lin (utilisée par NOTOX et Roland Jourdain dans le cadre de la réalisation des lignes Gwalaz et Glazboard), et la fibre de bambou [ CITATION Sus \l 1036 \m Kaï]. Si les résultats sont très prometteurs, l’utilisation de ces fibres reste marginale.

« Les ailerons et les plugs » Ce sont également des bases polyester et fibres de verre qui sont utilisées pour les ailerons. Uhaina Po fait partie des quelques shapers qui proposent des alternatives en bois.

Pratique de l’activité

« La Wax » La wax classique est composée à 60–70% de parrafine, produit issu du raffinage du pétrole. Sa composition comprend également 25 à 40% d’autres produits dérivés du pétrole et de cire d’abeille, et 5 à 10% de solvants. La composition varie en fonction du type de wax conçus pour les différentes aux saisons et températures de l’eau, et pour des grips plus ou moins prononcés selon les préférences des usagers [ CITATION Sur6 \l 1036 ]. Des alternatives existent déjà sur le marché français : GreenFix, dans les Pays Basques, et SimWax, dans les Landes, proposent des produits alternatifs, 100% naturels, et sont conçus et produits en France. SimWax utilise exclusivement de la résine de pin maritime et de la cire d’abeille pour la conception de ses pains de wax, ce qui en fait un produits particulièrement neutre [ CITATION Sud14 \l 1036 ]. La composition de la GreenFix est quant à elle tenue secrète [ CITATION Neo13 \l 1036 ].

« Le néoprène » Il existe aujourd’hui deux principaux types de néoprènes sur le marché des combinaisons : le néoprène dérivé du pétrole, et celui dérivé du calcaire, aussi appelé géoprène . Les combinaisons les plus répandues sont celles issues de la pétrochimie : en effet, cette matière première est moins chère et les procédés de transformation sont aujourd’hui éprouvés. Des marques telles que Yamamoto, Xcel, Patagonia, Matuse et Body Glove proposent aujourd’hui des produits à base issus du calcaire [ CITATION War07 \l 1036 ]. Du point de vue performance, les résultats sont mitigés. Si les marques vendent le géoprène comme un produit plus imperméable (98% contre 65% pour le néoprène classique) et très élastique (480%), les résultats scientifiques ne confirment pas nécessairement une différence intrinsèque entre les deux produits [ CITATION 36013 \l 1036 ]. Le néoprène et le géoprène sont deux produits finis chimiquement similaires, ce sont les matières premières qui diffèrent réellement [ CITATION Pat12 \l 1036 \m Sur11 \m Gre11]. Si une différence fondamentale existe entre le confort et l’élasticité de deux combinaison, ce sera vraisemblablement les matériaux ajoutés (tels que l’élasthanne, principal matériau utilisé pour conférer un caractère élastiques aux tissus) et la conception qui feront la différence [ CITATION Car15 \l 1036 ]. Ces résultats restent empiriques et mériteraient une étude approfondie de la résistance et de l’usure de deux combinaisons de même épaisseur et de même facture, qui diffèreraient seulement par leur matériau constitutif. De prime abord, un pur écolo aurait tendance à se tourner vers un article issu du calcaire. Cependant, l’impact de ce dérivé n’est pas neutre. Pour fabriquer du géoprène, le calcaire doit être extrait, broyé, et chauffé à une température de plus de 1650°C. Ce procédé est donc particulièrement énergivore, et consomme nécessairement lui aussi des énergies fossiles [ CITATION Pat12 \l 1036 ]. Les recherches pour obtenir des néoprènes « verts » continuent, et sont encourageantes. De l’utilisation de matériaux recyclés à celle du guayule (arbre originaire du Mexique permettant la confection d’un caoutchouc vert) les initiatives ne manquent pas, mais ne remplacent pas encore totalement aujourd’hui le néoprène [ CITATION Jea14 \l 1036 ]. Greensmart, par exemple, confectionne aujourd’hui des housses d’ordinateur portable en néoprène vert, dit « Neogreene » issu d’une chimie aqueuse (sans solvants, donc). Dans un avenir plus ou moins proche, ce produit pourrait être utilisé pour votre combinaison de demain [ CITATION The09 \l 1036 ].

« La crème solaire » Sujet déjà largement épuisé, la crème solaire se décline sous deux principaux types : le chimique et le minéral. Les crèmes ou filtres solaires chimiques classiques pénètrent dans l’épiderme et peuvent être responsables de réaction allergiques. Ils sont également moins stables et efficaces dans le temps puisque les UV induisent une photo-dégradation des molécules chimiques [ CITATION Roc \l 1036 ]. Ces filtres se dissolvent dans l’eau de mer et sont toxiques pour les organismes aquatiques sensibles tels que les coraux [ CITATION Pla \l 1036 ]. A l’inverse, les filtres minéraux ou inorganiques ne pénètrent pas l’épiderme (c’est la raison pour laquelle ils correspondent généralement aux produits destinés aux enfants ou aux peaux sensibles). Leur principal inconvénient est que leur composition ne permet pas d’obtenir une crème parfaitement translucide : une fois étalée sur la peau, il reste souvent des traces blanches jugées inesthétiques, et responsables de leur impopularité [ CITATION Roc \l 1036 ]. Les recherches font néanmoins avancer cette problématique, aussi minime soit-elle. Les Laboratoires de Biarritz proposent une gamme de filtres solaires minéraux dédiés au surf. D’autres marques françaises telles que l’Eau Thermale Avène proposent des filtres minéraux, et peuvent être trouvés en pharmacie. Plus d’excuses donc pour passer aux crèmes minérales, soyez fiers d’afficher des marques blanches sur votre peau synonymes d’un plus grand respect de l’océan et de votre santé !

« Le transport » Deux composantes sont à prendre en compte dans le bilan carbone de votre activité : le transport qu’aura subi votre matériel, et le transport nécessaire pour couvrir la distance qui vous sépare de vos spots fétiches.Cet aspect est assez difficile à évaluer puisqu’il dépend des habitudes et des lieux de vie de chaque surfeur. A titre d’exemple, un surfeur nantais qui va à l’eau l’hiver pourra facilement sillonner la côte depuis le Sud de la Bretagne jusqu’au Sud de la Vendée, et chaque session pourra représenter 150km de trajet aller-retour. Au rythme d’une session par semaine en moyenne, le bilan carbone monte vite : à l’année, un surfeur qui se rend seul au spot émet 2,5 tonnes de CO2, uniquement dans la cadre de la pratique de son sport. Pour donner un ordre d’idée, un Français émet en moyenne 9 tonnes de CO2 par an [ CITATION Pla13 \l 1036 ]. En 2005, il était estimé que 2 tonnes de CO2 étaient émis par les Français dans le cadre de leurs déplacements seuls [ CITATION Lon10 \l 1036 ]. En privilégiant les spots de proximité et le covoiturage, vous réduirez considérablement l’empreinte carbone de votre activité.

En aval : la fin de vie du matos

« Le meilleur moyen de gérer ses déchets est de ne pas en produire ».

  • En privilégiant des produits qui ont une haute durabilité, vous diluez l’impact de vos produits dans le temps et réduisez par autant votre empreinte environnementale. En premier lieu, il faut donc penser « long-terme » lorsque vous réalisez vos investissements, quitte à économiser un peu plus avant de faire le pas. Vous en serez généralement récompensés par la performance de vos produits, qui va de pair avec le gage de qualité.
    En ce qui concerne les déchets en eux-mêmes, plusieurs gisements sont à considérer.
  • Le gisement de planches de surf à gérer en fin de vie est relativement faible, et lui-même difficile à évaluer. Les planches ayant une forte valeur sentimentale pour leur propriétaire, elles sont parfois gardées en éléments de décoration ou réutilisées en mobilier. Le RESURF project, originaire du Sud Ouest, a été financé par la campagne de financement participatif Ulule et a pour objectif la mise en place d’une filière de recyclage des planches de surf.
  • Les combinaisons peuvent en premier lieu être déposées auprès de l’association Surfeurs Solidaires, qui promeut le surf et permet aux populations défavorisées, et permet aux citoyens de pays en voie de développement d’accéder à ce loisir. Des entreprises telles que Néocombineet Combhard récoltent quant à elles les combinaisons pour leur donner une seconde vie, respectivement sous la forme de bracelets et porte-clés, et de vêtements et sacs [ CITATION Sur12 \l 1036 \m Con121].

Pour le reste, c’est du bon sens : triez les déchets de vos consommables et ayez une attitude écoresponsable en session. L’impact positif des surfeurs est même mis en valeur via certaines initiatives telles que « Une session un déchet », qui invite les rideurs à ramasser un déchet sur le spot qu’ils surfent à chaque session [ CITATION Une \l 1036 ]. A plus grande échelle, la Surfrider Foundation organise des ramassages de déchets réguliers via des antennes locales autonomes et spontanées. Cette initiative est plus connue sous le nom d’ « Initiatives Océanes ».

3. Conclusion et recommandations

Afin de considérer l’impact environnemental du surf, il faut considérer l’ensemble de cycle de vie de votre board ainsi que tous les éléments liés à votre activité.
Vous voulez réduire votre empreinte écologique de surfeur ? Voici quelques recommandations :
• Méfiez-vous des raccourcis et des messages véhiculés par les marques de surf
• Autant que possible, consommez local pour réduire le bilan carbone de l’activité
• Préférez les wax naturelles et les crèmes solaires minérales
• Préférez les produits de qualité qui tiennent dans le temps, et quand c’est possible, les produits éco-conçus.
• Pratiquez le co-voiturage : les sessions entre potes ont toujours une saveur plus agréable, et vous diviserez par autant votre bilan carbone

Vous souhaitez aller plus loin ? Un article complet de 50 pages sur le surf et le développement durable rédigé par Nick Power est disponible ici . Tobias Schultz a également rédigé un article sur l’éco-conception du surf, à retrouver à cette adresse.

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1 Bilan calculé via le site « myclimate.org », en considérant une consommation de 6 litres aux cents et une consommation diesel.